Focusing on an era that both inherited and irretrievably altered the form and the content of earlier art production, The Art-Journal and Fine Art Publishing in Victorian England, 1850-1880 argues that fine art practices and the audiences and markets for them were influenced by the media culture of art publishing and journalism in substantial and formative ways, perhaps more than at any other time in the history of English art. The study centers on forms of Victorian picture-making and the art knowledge systems defining them, and draws on the histories of art, literature, journalism, and publishing. The historical example employed in the book is that of the more than 800 steel-plate prints after paintings published in the London-based Art-Journal between 1850 and 1880. The cultural phenomenon of the Art Journal print is shown to be a key connector in mid-Victorian art appreciation by drawing out specific tropes of likeness. This study also examines the important links between paint and print; the aesthetic values and domestic aspirations of the Victorian middle class; and the inextricable intertwining of fine art and 'trade' publishing.

Drawing on art, literary, journalism, and publishing histories, this study argues that fine art practices of the Victorian period were influenced by the media culture of art publishing and journalism in formative ways, perhaps more than at any other time in the history of English art. The cultural phenomenon of the Art-Journal print is shown to be a key connector in the art appreciation of the era. This study also examines the important links between paint and print; the aesthetic values and domestic aspirations of the Victorian middle class; and the inextricable intertwining of fine art and 'trade' publishing.

Comme pour l'anglais du XXe siècle finissant, la Ville - qu'il s'agisse de Londres ou des cités industrielles du Nord - était pour les sujets de la reine Victoria à la fois un paradis et un enfer. Peu d'écrivains de l'époque l'ont méconnue; ils ont, selon leur culture, leur sensibilité, leur tempérament, réagi de façons contradictoires à un phénomène d'une ampleur sans précédent, qui a été, et demeure, au centre des débats politiques et sociaux. Les essais contenus dans ce volume reflètent la variété des attitudes victoriennes envers l'urbanisation. Ils évoquent les dures réalités de la misère et de la corruption, les conclusions des enquêtes menées dans un labyrinth où trouvaient place aussi bien la criminalité qu'une culture nouvelle; mais ils montrent aussi la magie de la ville, "douce cité d'illusion, de mythes, d'aspirations et de cauchemars", qui, selon Jonathan Raban, est aussi réelle, sinon plus, que la cité perceptible dans les statistiques et les études des sociologues, des démographes et des architectes. Les principaux auteurs traités sont Charles Kingsley, John Ruskin, Frederic Harrison, George Gissing, Arthur Morrison et Rudyard Kipling. Les six essais qui leur sont consacrés sont précédés d'un essai plus général écrit par un spécialiste reconnu de la civilisation urbaine britannique. L'ensemble entend apporter un complément original aux études parues sur la question en Angleterre depuis une douzaine d'années. Il reflète l'ambiguïté des jugements humains devant un phénomène tangible, émminemment analysable, dont procèdent de multiples visions subjectives et substantielles.

First Published in 2004. Routledge is an imprint of Taylor & Francis, an informa company.

Victorian City is a study of the social and intellectual attitudes of Victorian society to the challenge of urbanization.